Ne laissez pas un millimètre de terrain aux collectivistes!
Eux n'hésiteront pas à vous dévorer.
Dans une récente vidéo devenue rapidement virale, Javier Milei exprime avec enthousiasme sa frustration envers les gauchistes, en insistant sur un point crucial : le moindre millimètre de terrain qui leur est cédé jouera en notre défaveur. À l'occasion de ce "moment Milei", j'aimerais appuyer ce principe fondamental.
Pour illustrer ces faits, je vous invite à (re) visionner cette vidéo d'Adam Villon sur Instagram.
Je tiens donc à soutenir cette idée : il est impératif de ne pas céder ni négocier avec les collectivistes. Nous n'avons pas à nous conformer à leurs exigences. Ne pliez jamais devant eux, car ils exploiteront chaque occasion de faiblesse pour vous anéantir.
Notre devons dominer le marché culturel en faisant preuve d'excellence, de rigueur, de fermeté et d'humanisme (principes ancrés dans le droit naturel). Pourquoi aurions-nous à reculer si nous sommes certains de la solidité de nos fondations?
J'ai toujours adopté cette approche implicitement, mais il est intéressant de l'entendre exprimée de manière directe. Les défenseurs radicaux de la liberté, et même une certaine frange de la droite, ne peuvent qu'apprécier les paroles sincères et passionnées de Javier Milei quand il évoque le gauchisme.
La ferveur qu'il exprime résonne avec la nôtre, et cette énergie nous revitalise. D'ailleurs, permettez-moi d'appuyer ce point : on a sûrement déjà dû vous dire que la colère était problématique. Je crois cela faux. La colère peut être saine tant qu'elle ne vous consume pas et qu'elle est canalisée dans la bonne direction.
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En réalité, je crois même qu'un manque de colère face à ce monde corrompu par ses élites politiques serait préoccupant. En bref, il est crucial de rappeler cette vérité fondamentale : aucune concession ne doit être faite envers les adversaires de la liberté.
Lorsque vous créez, faites-le sans chercher à plaire aux idéaux gauchistes ou aux détenteurs du pouvoir en place. Vous ne me verrez jamais écrire des choses comme "Parfois, l'impôt n'est pas un vol parce que blablabla." NON. TAX IS THEFT.
(Néanmoins, il est important de se souvenir qu'il n'y a aucun problème avec les stratégies de coopération, d'entraide, de don, de charité et de redistribution volontaire.)
Produisez comme si la liberté était déjà établie. Ne visez pas la "victoire" politique (nous sommes en France, et notre culture est encore immature côté liberté).
Notre Milei n'est pas prêt d'arriver, mais cela ne change rien à la nécessité d'agir sur le plan intellectuel et culturel. Je m'engage dans la création par principe. Par ailleuirs, être marginalisé aujourd'hui ne signifie pas l'être demain.
Une bataille non menée est toujours perdue, n'est-ce pas ? Alors compte-tenu de l'incapacité de la droite sur internet et du caractère risible de la droite politique, c'est à nous de porter haut les couleurs de la liberté.
Dans un contexte où l'idéologie dominante est socialiste, il nous incombe de la réorienter vers un libéralisme intégral. Même si nous sommes encore peu nombreux et le serons pendant un certain temps, il est primordial d'être là pour diffuser nos productions.
En tant que créateurs, nous consacrons beaucoup de notre temps à cette cause, sans toucher de rétribution financière conséquente. Alors travaillons au moins ensemble: nous produirons, vous diffuserez.
La seule révolution est celle que l'on s'impose. Les moyens à notre disposition sont innombrables et dépendent de notre détermination, de notre solidarité et de notre ingéniosité.
Ce qui importe, c'est de rester en mouvement pour transmettre nos valeurs et faire comprendre ce qu'est la liberté. N'oublions pas : la liberté est une fin en soi, et il est grand temps que le monde la reconnaisse comme une évidence, pour qu'un jour nous puissions la vivre pleinement.
Allez, au travail maintenant. Internet sera inondé de nos couleurs 🟡⚫️