Ce japonais a une idée novatrice pour l'Humanité
Vers le communisme décroissant ?
Démystification dans les règles de cet article communiste financé par votre argent.
Sachez que le service public milite pour votre appauvrissement en publiant ce genre de machin. Levons le voile sur les principaux points de cet article communiste.
1. L'article affirme que le capitalisme contribue à la crise en cherchant à maximiser le profit, ce qui mènerait à une surexploitation des ressources.
Première tarte à la crème. Les problèmes écologiques ne sont pas des effets néfastes du capitalisme de libre marché. Le profit est signe de bonne santé sociale (service rendu).
Si déséquilibres écologiques il y a (que chacun jugera, "l'équilibre" n'est ni singulier ni objectif), ils proviennent d'une gestion des ressources désastreuses dans le monde RÉEL, à savoir celui des États.
Faites de chacun un individu responsable économiquement et juridiquement des ressources qu'il contrôle et échange. Chiche ?
Ensuite, la notion de "surexploitation" ne peut être que rattachée à l'organe étatique, qui n'appartient pas au marché (pas de risque de faillite, renflouement par la fiscalité et l'inflation etc).
L'entrepreneur cherchera toujours à rendre des services pour faire des profits. Cela implique d'optimiser son processus de production (veiller à une utilisation appropriée des ressources qui passent entre ses mains).
2. L'article de Saito accuse le capitalisme de provoquer un déséquilibre entre le Nord et le Sud.
Ce n'est toujours pas pas une conséquence du capitalisme de libre marché mais de l'intervention de l'État (de la violence globalisée).
Trouvez-moi un seul tweet de ma part où j'invite à exploiter des terres qui ne nous appartiennent pas...
3. L'article dénonce ensuite la course à la productivité comme un défaut du capitalisme.
La productivité revient à servir mieux/plus de gens avec moins d'intrants et moins de coûts engagés. Quel enfer, je sais.
Rappelons aussi que la demande des consommateurs détermine la production. Les communistes rêvent d'un monde où nous arrêterions de SERVIR les gens.
4. L'auteur arrive ensuite sur la décroissance comme réponse nécessaire à la crise climatique.
Approche qui repose sur l'idée fausse que la richesse et la prospérité formeraient des jeux à somme nulle.
Il n'y a PAS un gâteau pour tous, chacun son gâteau à faire grossir (et la richesse n'est PAS que matérielle).
Si vous manquez la notion essentilelle de valeur subjective manifestée à l'échange, vous finirez par dire que l'économie est une lutte dont l'objectif est de créer une valeur utile et objective pour tous.
5. Marx est vanté par l'auteur. Il aurait anticipé les contradictions écologiques du capitalisme.
Marx ignorait la praxéologie, c'est pourquoi il n'a jamais compris l'économie. Il n'y a aucune contradiction dans le fait d'agir, de former du capital, d'échanger etc. À moins que l'idée soit de réduire l'Humanité à néant, bien sûr.
Tous ceux qui nous parlent encore et toujours de ce problème imaginaire n'ont jamais mis le nez dans l'épistémologie de l'école autrichienne. Il suffit de discuter 30 secondes avec eux pour s'en convaincre.
6. Saito propose un "communisme décroissant" pour résoudre la crise écologique.
Nul besoin de parler de "communisme décroissant", c'est une répétition. Le communisme est déjà une dégénérescence en soi (intellectuelle, morale et économique).
Pour résoudre un problème social (n'importe lequel), laissez les gens s'organiser, point.